Voyages de rêve, rêves de voyages

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Paris chéri (Ciel mon Marais...)


Rock Hair

Je vais vous avouer un truc, j’ai longtemps cherché mon style. 

Eh bien je l’ai trouvé il y a quelques jours chez Rock Hair, un coiffeur hyper méga cool du Quai de Jemmapes sur la rive est du romantique canal St Martin. 

 

  

 

J’ai accepté et même voulu ma métamorphose. Elle a eu lieu dans ce salon branché d’un quartier autrefois populaire, devenu aujourd’hui furieusement tendance et bobo.
Maintenant je me regarde fièrement dans la glace et je me plais.
Je sens que je vais aimanter les regards et faire des ravages. 

   

Que vous ayez, comme moi, de longs et fins cheveux aux reflets blonds tombant délicatement sur les épaules (je me pince pour ne pas rire)
ou que vous soyez quasi chauves, on fera de vous un autre homme : 
un tombeur, un intellectuel, un poète, un macho ou les quatre à la fois, c’est vous qui choisissez. 

Moi j'ai choisi cette coupe : 

 

 

Si vous êtes une jeune femme : no problemo, vous quitterez le salon en exhibant fièrement votre nouvelle tignasse rouge, verte ou orange et vous tomberez les mecs juste en roulant un peu des hanches. 

Ah la magie des coups de ciseaux de ces jeunes et beaux coupeurs de tifs !
J’ai un petit faible pour Edouard, il a des mains d’argent. 


Demandez-le de ma part !  

Détail important : pendant qu’il s’occupera avec art de vos mèches, vous écouterez ceci: 

  

et vous aurez bien du mal à ne pas secouer la tête en cadence en aboyant avec Iggy.
Oui chez Rock Hair, le personnel et les clients sont rockers. 

Combien pour un tel bonheur ?
Entre 30 € (pour les chauves et 100 pour celles qui veulent le grand jeu avec massage du cuir chevelu et des oreilles). 
Une paille, je vous dis. 

 

68 Quai de Jemmapes, 75010 Paris

 Métro:

  • Goncourt (0.4 km)
  • Jacques Bonsergent (0.4 km)

 Station Vélib':

  • Saint Louis (0.1 km)

Contact : 01 53 19 11 37 

rock-hair.blogspot.com/ 


05/04/2013
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La Place Furstenberg

Pas la peine de chercher plus loin !
C'est ici que Paris est vraiment magique.

Juste derrière l'église Saint-Germain des Prés mais à des lieues de l'agitation
du boulevard, vous trouverez la plus romantique place de la capitale.

 

 

Quelques paulownias (arbres originaires de Chine ou de Corée), un réverbère à cinq globes, et c'est tout.

Non ce n'est pas tout, vous serez en compagnie d'un précieux ami : le silence.

Un homme de goût s'était installé là : Delacroix. Il avait son atelier, aujourd'hui devenu un musée.


11/02/2013
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Aubade

Ode à ma belle-mère

 

Les belles mères sont des mères comme les autres et mériteraient leur propre fête à plusieurs titres :

 

- elles sont belles
- elles sont mères
- et pire encore : elles sont sexy et terriblement provocantes.


Bon, je généralise un peu vite mais vous l'aurez compris, je fais allusion à ma propre belle-mère qui est un véritable canon et qui adore la lingerie fine de la marque Aubade.

Pour la fête des belles-mères qui coïncide (faute de mieux) avec celle des mères, ma femme et moi nous nous rendons dans la coquette et coquine boutique Aubade de la rue de Courcelles près du Parc Monceau afin de trouver la lingerie susceptible de plaire à Aurore (ma belle mère) et de mettre en valeur ses formes superbes.


La boutique, quartier chic oblige, est sobre et de bon goût et la vendeuse qui nous prend en mains est à la fois distinguée et sexy (oui cela semble être le critère de choix n°1 pour l'embauche).
Elle a dans les yeux cette lueur de luxure qui fait fondre le client et le pousse à la consommation (pardon, je m'égare)

"Dentelles, coton, soie, cuir, lin, string, culotte, soutien-gorge, guêpière, tunique, robe "Baiser de Vénus", escarpin, sac ?
Que désirez-vous mon beau Monsieur et ma belle Dame ?" 
J'aime son assurance et son aplomb.
Elle nous passe toutes les collections de cette maison, créée en 1875, en revue en insistant sur la qualité de fabrication.



"LA femme" selon Aubade


"En offrant Aubade, vous faites une déclaration d'amour à LA femme" me dit-elle en me regardant droit dans les yeux.

Serai-je amoureux de ma belle-mère ?

Aïe, je cherche à cacher mon embarras à mon épouse qui fait semblant de ne rien remarquer.
Nous voyant perdus, la vendeuse nous pose quelques questions bien ciblées sur le physique et les goûts d'Aurore et nous repartons avec un string rouge en soie, un soutien gorge assorti et une guêpière.


 

Aaaah Aurore, vous allez aimer nos cadeaux, j'en suis sûr !

Je profite de l'occasion pour souhaiter une bonne fête à toutes les super belles-mamans (et mamans aussi, pendant que j'y suis).


11/02/2013
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La place des Vosges

Ne trouvez-vous pas que cette superbe place carrée est d’une élégance royale? 


 

Elle a cette fierté dans le maintien, cette prestance qui impose le respect. Ses maisons magnifiques, presque hautaines, ocres au coucher du soleil, semblent vous toiser, vous remettre à votre humble place de sujet de sa majesté, (de citoyen lamda aujourd’hui).

Elle s’appelait bien sûr la Place Royale le jour de son inauguration en 1612 à l'occasion des fiançailles de Louis XIII et d'Anne d’Autriche. 
Un nom qui lui allait comme un gant de velours.

 

Après la place Dauphine, c’est la deuxième plus ancienne place de Paris et ma préférée (avec la modeste et romantique place Furstenberg et la gigantesque et grandiose place de la Concorde).

C’est fou comme j’aime Paris quand je songe à la beauté de ces trois-là !

Allez... j’ajoute encore les places Vendôme, Dauphine et du Marché Sainte Catherine qui sont d’autres émouvantes merveilles.


HISTOIRE ABREGEE :

 

que de noms elle porta !


Durant la Révolution française, elle fut, bien entendu, rebaptisée successivement :
« place des Fédérés », « place du Parc-d'Artillerie », « place de la Fabrication-des-Armes » et « place de l'Indivisibilité ». 
En 1800, elle devint « la place des Vosges » en l'honneur du département du même nom qui s’acquitta le premier de l'impôt sous la Révolution française. 
Le retour de la monarchie lui rendit son nom initial de « place Royale » de 1814 à 1830 et de 1852 à 1870. 
Elle porta aussi brièvement le nom de « place de la République » en 1830.
Ouf !

 

Admirez cette remarquable unité architecturale. 
Tous les immeubles de deux étages, (plus deux étages de comble), sont de la même hauteur à l’exception d’un plus élevé qui fut le pavillon du roi (au centre du côté sud).
Ils semblent tous identiques. 
Erreur, ils sont semblables mais uniques, comme nous les hommes ;-)

 

Faites le tour de la place et observez les différences.
Jetez un oeil aux galeries d’art, aux magasins de luxe sous les arcades. 
Visitez la maison de Victor Hugo à l’est puis reposez-vous un peu sur un banc ou étendez-vous dans l’herbe du Square Louis XIII en plein centre. 
Foulée par des centaines de semelles, elle n’est, hélas, pas très verte. 
Là, aux pieds des quatre fontaines et de la statue équestre de Louis XIII, des couples se disent des mots doux et joignent le geste à la parole.

 


Vous êtes bien à Paris, la ville de l’amuuuuuuur.

En partant, n’oubliez surtout pas d’emprunter les allées du jardin de l’Hôtel de Sully dans le prolongement de la place des Vosges.

 

Vous vous direz, à coup sûr :

«  Décidément Paris est vraiment unique ! »



05/02/2013
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Le Jardin du Luxembourg

Chacun a son Jardin du Luxembourg. 
Le mien c’est celui des statues, des pelouses bien tondues et des fauteuils en métal, tout au fond là-bas près de la rue Guynemer.

 

 

Mes coins préférés dans le plus beau jardin de Paris, les plus chargés de souvenirs personnels, sont donc un peu en retrait de l’agitation qui règne autour du grand bassin face au Sénat.

 

 

Vous avez des chances de me trouver devant la statue de Verlaine, ou celle de Stefan Zweig, affalé dans un fauteuil, un bouquin, un journal ou mon Iphone à la main (souvent les trois) ou encore près de la magnifique fontaine de Médicis à l’ombre.

 


Stefan Zweig fut un amoureux de Paris et de ce Jardin

 


La Fontaine Médicis

 


“Aux étudiants résistants”

 

Parfois je dispute une partie d’échecs pas très loin des courts de tennis. C’est, en effet, un lieu de rendez-vous connu des amateurs de ce jeu.

 

 

Souvent je m’assois sur un de ces confortables fauteuils en métal face au Panthéon dont la coupole m’a toujours fasciné.

 

 

Petit je faisais du poney sur la grande allée poussiéreuse ou bien de la balançoire, étudiant j’y venais déguster un sandwich, lire et discuter. 
Adulte je continue de le fréquenter presque chaque semaine.

Il n’existe pas pour moi de plaisir plus grand en plein Paris que celui de marcher dans ces allées silencieuses bordées d’arbres centenaires.

Toutes les statues du Jardin grâce à ce lien :


http://www.senat.fr/visite/jardin/map_artistes.html


11/02/2013
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